Vendredi, dans la SuperScène, il y a eu du frisson, de l’émotion, de la passion (et un citron). Dans un genre film d’horreur :
Frédéric et sa soeur Stéphanie sont sur la muraille de Chine. Stéphanie est un peu lente d’esprit, mais elle a néanmoins réussi à devenir prof d’histoire géo (« ça fait deux matières » dira-t’elle). Son frère est lui malheureusement atteint d’une grave maladie et il ne lui reste qu’un an à vivre. C’est la supposée raison de leur voyage.
Mais il a un secret : non seulement il a appris le Chinois, mais il est en fait venu pour aller désenvouter le village de Ningtao, où les âmes errent à la nuit tombée. Après un périple en scooter, arrivés au village à la nuit tombée, Frédéric utilise son pouvoir et rentre dans le corps d’un des villageois contaminés. Au matin, il guide sa soeur, avec qui il discute via la bouche de son hôte, pour qu’elle lise le passage magique du livre (en latin) qui mettra fin à l’envoutement. Le villageois est sauvé, mais la nuit suivante les villageois sont plus nombreux et agressifs, ils attrapent Frédéric qui se sacrifie pour que Stéphanie puisse s’enfuir.
De retour à Paris, Stéphanie est soignée par le même médecin blasé que son frère. On l’a internée, personne ne croit à ses histoires d’envoutement. Jusqu’à ce qu’elle retombe sur ce livre, et récite ce passage en latin…